La crise boursière !! qui n'en a pas entendu parlé ??
La crise boursière qui en a vu les effets ??
Comment se sont constituées les
fortunes réalisées sur la baisse des cours
La crise boursière ;
que de mal entendu circulent.
2007 et 2008 resteront dans les mémoires de chacun. Certain pour
l'argent qu'ils ont perdu, d'autre pour l'argent qu'ils ont gagné. Ceux
qui ont perdu sont des sots. Ils ont cédé à la panique qui enflait de
jour en jour sur la baisse des actions. Ces personnes richissimes ont
vendu soit à perte de bénéfices réalisés les années antérieures,
soit ils ont vendu pour récupérer leur"mise" alors qu'il en
était encore temps. Certain n'ont pas retrouvé l'argent investit car
ils avait acheté des actions très chères au mieux de l'économie en
2005 2006 ou début 2007.
La bourse s'est un commerce. Vous achetez 1000 € d'actions en
espérant comme un commerçant le fait chaque jour, vendre un peu plus
cher plus tard. Ce système marchait très bien dans le commerce local
il y a encore pas très longtemps. Ce système allait bien aux personnes
qui "plaçait" leur argent en bourse qu'à l'épicier local du
village, voir même aux l'épiciers, boulangers, boucher ambulants en
campagne.
s
Où est le soucis ?, d'ou arrivent ces difficultés associées ?
Le commerce local s'éteint peu à peu. Les investisseurs en actions
perdent pied. La chute des bourses mondiales n'est pas très loin du
commerce local. Le petit commerce local s'étiole par manque d'acitivité,
les bourses mondiales chutent car la consommation mondiale baisse.
Sans faire de publicité pour Mercédès, je veux quand même vous
rapporter les propos de ce concessionnaire qui me disait dans les
années 2000. Les années passées je savais le nombre et le modèle de
voiture que je devais commander en me basant simplement sur les ventes
des années précédentes. Je savais à l'avance les clients qui
allaient venir commander une voiture neuve car la leur avait un ou deux
ans. Donc nous étions déjà en récession, mais chut ... personne n'a
vu.
Kawaski arrête la compétion moto (il se dit de 30 à 40 millions d'€uros
d'économie) pour motif de crise. D'autres constructeurs en ont fait de
même que soit motos ou voitures. Dautres vont suivre car les économie
aident une entreprise à poursuivre son acyivité.
La consomation baisse, l'épargne augmante. En fait la consomation n'a
jamais été aussi important, mais elle se déplace vers de nouveau
secteurs émergeants qui ne génère pas encore de bénéfices. Ces
nouveaux centres d'intérêts permettent avec des prix de plus en plus
bas à soutenir un autre type de consomation différente. Là où la
consommation se réduit, la douleur est forte, les licenciements sont et
seront nombreux. Il ne semble pas que les secteurs émergeants seront
demandeurs de main d'œuvre pour compenser les secteurs qui vont
licencier.
Beaucoup de pays émergeants ont grand besoin de consommation, et ont de
fort potentiels à produire dans tous les domaines. Le fait qu'ils aient
peu d'équipement actuellement va leur permettre d'évoluer et de ce
fait, ils ne vont pas consommer sur la production mondiale, mais sur
leur propre production augmentée par des investissement productifs.
Le responsable des actionnaires de St Gobain disait à Bordeaux début
décembre devant les actionnaires réunis que la crise était plus
profonde que celle 1929. Personne ne le voit venir, ajoutait il,
l'économie est est en panne. A la question : la faiblesse du cours St
Gobain ne serait il pas une occasion pour qu'un concurent de St Gobain
projette une OPA ** sur la société ?. La réponse a
été sans ambiguité : aucune société n'a le "cash" pour
tenter une OPA sur St Gobain et aucune banque ne prèteraient une telle
somme à une socité de taille internationale dans la conjoncture
actuelle. A écouter les propos de ce cadre de St Gobain, les banques
n'ont plus d'argent pour faire des prêts aux socitétés aux dimensions
internationales. Il en serai de même pour les moyennes et petites
entreprises devenues fragiles.
Quand aux particuliers, leurs situations sont jugées mauvaises car le
parc immobilier financé par les banques risque de plus être à la
hauteur du capital restant dû en Europe comme cela est déjà le cas en
Amérique depuis un ou deux ans. Autrement dit, beaucoup de
maisons à crédits n'ont pas la valeur du capital dû par les
propriétaires. Cette situation émerge lorsque les emprunteurs ne
peuvent plus payer les remboursements. Personne n'a envie d'investir,
donc pour vendre il faut baisser le prix et c'est à ce moment là que
la situation du développement économique s'inverse. De l'autre coté
les personnes qui auraient besoin d'un logement ne peuvent pas emprunter
car ils n'ont pas les garanties nécessaires. Les banques n'arrivent
plus avec la saisie immobillière à retrouver le capital restant dû.
La boucle est bouclée, et la crise s'installe.